La Commanderie de la Villedieu restaurée en 2008… Alléluia !!!
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(c) Photothèque sqy-ca, M.L |
Fidèle à sa démarche de valorisation du patrimoine, la communauté d’agglomération (CA) s’apprête à restaurer et à réaménager la Commanderie des Templiers, à Élancourt, pour que les lieux soient, à terme, ouverts aux associations à vocation artistique et culturelle du territoire.
Devenue propriétaire de ce site historique et haut lieu culturel (ateliers d’artistes, concerts, expositions…) par rétrocession lors de la cessation de l’Établissement public d’aménagement (EPA), la CA a dû procéder pour cette opération d’envergure à l’élaboration d’un avant-projet finement expertisé et extrêmement pointu en termes techniques.
Rien d’étonnant sans doute aux yeux de ceux qui connaissent déjà ce site, qui comprend la chapelle (inscrite à l’inventaire des Monuments historiques), le bâtiment de Bièvres, le bâtiment Chevreuse et le bâtiment de garde, tous étant voués à réhabilitation à des degrés divers.
Commanderie, puis ferme, puis lieu d’exposition dédié à l’art contemporain avec des artistes en résidence, ce remarquable ensemble de bâtisses entre dans une phase de renouveau et d’embellissement, avec notamment la restauration du bâtiment de garde dès janvier 2008, pour une durée de trois mois, et du bâtiment de Bièvres et de la chapelle, à partir de la moitié de l’année 2008, pour une durée de dix-huit mois environ.
Le site accueillera ces prochaines semaines des actions culturelles concoctées par le Musée de la ville (histoire des lieux, vie des Templiers, explication des travaux, signalétique label Villes et pays d’art et d’histoire…) et par Le Prisme (annonce de la saison, festival de théâtre et de danse…).
À terme, ce lieu devrait être restitué aux habitants, la communauté d’agglomération souhaitant plus particulièrement l’ouvrir aux associations à vocation artistique et culturelle non professionnelles. A noter également que le siège national de la Fédération française des échecs s’installera, après les travaux, dans le bâtiment Bièvres.
Retrouvez cet article dans le Petit Quentin de novembre 2007
