Archive pour le 8 novembre, 2007

Nouvelle Bague Templière !

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Publié dans:L'ordre des Templiers |on 8 novembre, 2007 |6 Commentaires »

Temple et Templiers

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Si l’on ce réfère au dictionnaire, le mot « temple » signifie un monument érigé à la gloire d’une divinité. Même dans la langue archaïque, le mot « Templum » désigne un monument ou un lieu consacré. 

Mais, de tous temps et dans tous les pays, le mot temple a une double signification. I1 y avait le temple exotérique ouvert à tous où se donnait un en­seignement approprié aux événements du moment, et le temple ésotérique réservé aux chercheurs de la Connaissance, aux initiés. De tous temps, que ce soit en Egypte, en Chaldée, en Perse, aux Indes, en Chine, ou chez les hébreux, la construction des temples était basée sur une synthèse qui, formait la dédicace. Je vous ai déjà dit que c’est par rapport au Nombre que les enceintes étaient déterminées en longueur et en largeur, et que les modules étaient eux-mêmes déterminés suivant le ciel astrologique, et les courants telluriques. Dans le temple, mathématiques, géométrie, matériaux et vibrations ont un sens précis. Ceci est vrai aussi pour les églises, cathédrales ou maisons de prières que les anciens appelaient ‘‘maisons d’éternité ». 

Le nombre d’or, qui est utilisé dans la composition de ces constructions est la mesure de la dynamique du sacré. Le Saint des Saints, l’autel, le taberna­cle, étaient placés en un endroit précis déterminé géométriquement, et qui correspondait au cube. L’endroit cubique était le «Debhir », et le centre recevait 1’autel. 

Dans le temple ésotérique, il y avait des cryptes, ou à défaut des coins som­bres, ou se faisaient l’instruction puis les épreuves qui menaient peu à peu à l’initiation. L’obscurité était considérée comme favorable à la concentra­tion du futur initié. 

Dans le temple de Salomon érigé sur le mont Moriah était pratiquée l’étude des sciences, principalement la géométrie, principe de toutes les autres sciences, de la musique, et de l’art   du travail des métaux. Là se forgeait une tradition héritée un partie de l’Egypte. 

A la construction de ce temple, ont participé 80.000 ouvriers et 300 maîtres qui ont ensuite répandu leur art de construire dans le monde; mais ils ont gardé jalousement certains secrets   de leurs techniques. 

Les constructeurs accordaient une valeur symbolique importante aux colonnes du temple. Par exemple, celles du Midi représentaient le principe actif, la force, celles du nord, la stabilité et la force génératrice. Ceci se référait à l’Arbre de Vie. C’est dans une certaine chambre du Temple que la Ménorah d’or est placée du côté Sud du tabernacle. Elle a 7 branches dont 6 sont réunies 2 à 2 par 3 arcs arrondis représentant Saturne, le Soleil et la Lune. Symboliquement, cela correspond à 3 périodes du développement de l’homme. La 7° branche, celle du centre se termine par une lampe alimentée par de l’huile d’olive pure. Parfois cette branche porte l’inscription «Le Soleil est mon Seigneur». 

Une table, du côté Nord du tabernacle, est à la droite de l’officiant. Sur cette table, 12 pains sans levain faits de farine et de miel, appelés «pain de proposition» ou «pain vivant qui nourrit l’âme» représentent les 12 tribus d’Israël. 

Sur l’autel, placé au centre, devant le tabernacle, des sels et des parfums d’encens, composés d’oliban et d’espèces douces, brûlent perpétuellement. Ceux qui se trouvent autour du tabernacle ou sur le parvis élèvent une prière silencieuse vers Dieu. 

Quand les templiers s’établirent à l’ombre du Temple de Jérusalem, ils eurent connaissance de la tradition des bâtisseurs du Temple. Certains sont devenus de véritables maçons bâtisseurs et nous ont permis de communier avec l’invisi­ble dans l’immortelle beauté des espaces qu’ils ont créés. Ils ont compris que l’homme, le sanctuaire et l’univers ont des correspondances entre eux. En rap­prochant la symbolique du temple et celle de l’homme, les êtres sont capables de rendre présent l’invisible et possible l’impossible. Le courant porteur de cette tradition de construction a survécu dans le Compagnonnage et dans certaines sociétés spiritualistes. Chacun sait qu’au moment des croisades les Templiers ont été en contact avec des peuples très divers, chaldéens, arabes, soufis, sémites, et avec des gnostiques, etc… On a beaucoup écrit   sur les Templiers» parfois avec passion ou avec fantaisie. Il est certain qu’il faut distinguer parmi eux plusieurs catégories. Il y avait un nombre important de moines soldats, la plupart illettrés, qui formaient une milice obéissante. On, connaît surtout les grands Maîtres… et leur état-major. C’était eux qui entretenaient les relations avec les monarques et leurs délégués, les gouvernements, et aussi avec la hiérarchie religieuse. Mais en dehors d’eux, il y avait une élite occulte très fermée qui était le véritable noyau de l’Ordre. Cette élite a approfondi les traditions anciennes dont elle a fait sa véritable raison d’être. Les connaissances héritées des an­ciens, parmi lesquelles l’astrologie, les ont amenés à une synthèse, basée sur les courants telluriques, les signes du Soleil, du croissant de Lune et des étoiles. Dans les nombres, ils ont choisi le 8 qui dérive de deux carrés superposés représentant le nombre de la cohésion constructive sur plusieurs niveaux, matériels et spirituels. (8 et ∞) 

Ils s’exprimaient beaucoup en symboles que nous devons comprendre et déchiffrer. Par exemple, le carré « ROTAS », la croix templière en émane. Les deux droites verticale et horizontale de « TENET » forment une croix grecque. Si nous joignons verticalement et horizontalement les A et les 0, nous obtenons la croix potentée. En joignant tous les A et les 0, de centre N, c’est la croix triangulée. En traçant le cercle de centre N et de rayon NA ou NO, on obtient la croix pattée. 

Pour les Templiers, la croix de Saint-André est représentée par un homme allongé dont la main droite tire l’épée du fourreau, celui-ci étant maintenu par la main gauche. Les jambes croisées en X forment un symbole équivalent à celui du chardon, lui-même symbole de vigne ou de sang. 

 

La croix latine et l’X des Templiers dérivent du « TAU » qui désigne le nom de IAHWECH. Il se portait, dans l’antiquité, inscrit aur le front et s’écrivait ainsi :  feu, eau,air,terre.

Gabrielle CARMI et de son mari Jean.. 

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Les Initiés Templiers

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L’Arménie était alors un état indépendant et l’est restée jusqu’à l’invasion des Mongols à la fin du XIVème Siècle. Située au Sud du Caucase, aux sources du Tigre et de l’Euphrate, elle était centrée autour du vilayet d’Erzeroum. Sa culture, surtout littéraire et religieuse, connut un très grand développement au Vème Siècle. C’est l’époque où s’est propagé le Nestorianisme en Arménie et où il s’est trouvé confronté avec les doctrines catholiques. Au même moment s’est répandu la doctrine monophysite selon laquelle le Christ doit être considéré comme ayant une seule nature, tout en étant reconnu comme le Fils de Dieu … Marie était la mère du Christ en tant qu’Homme et non la mère du Fils de Dieu. Cette doctrine a été catégoriquement rejetée par l’Eglise Romaine au moment du Concile de Chalcédoine en.451.

Les Monophysites ont constitué trois Eglises :

L’Arménienne dont le patriarche réside prés d’Erzeroum.

L’Eglise Jacobite de Syrie et de Mésopotamie régie par le Patriarche d’Antioche. L’Eglise Copte d’Egypte régie par le Patriarche d’Alexandrie résidant au Caire, qui exerce une suzeraineté sur 1’Eglise monophysite d’Alexandrie. Par contre, le Nestorianisme Arménien est défini par un triple aspect : humain, chevaleresque, spirituel. Cette doctrine émanant du moine Nestorius mort en 45. Elle a rayonné dans le bassin méditerranéen, en Asie centrale, en Inde et en Chine. Elle est encore professée en Irak et en Iran. Elle impose le mariage et même le remariage des membres du clergé, son Eglise se dénomme « Eglise d’Orient », en opposition avec le monde de l’Eglise Romaine. Elle a atteint son apogée autour de l’An 1.300. Mais ce christianisme, toujours minoritaire, poursuivi par Rome, a été désaxé par les bouleversements politiques de l’Asie, et s’est réduit de plus en plus. Elle a subi de la part de l’Irak et de la Turquie des persécutions au cours des âges et les fidèles se sont expatriés un peu partout dans le monde, particulière­ment en Amérique.

L’iconographie arménienne est d’une austère simplicité et d’une sobriété qui éga­lent celle des Cisterciens. La croix y est représentée sans Christ.

La conversion massive des arméniens au christianisme date du IV° Siècle, mais on retrouve des centres secrets christiques datant de l’an 200. De nombreux mariages mixtes arméniens et chrétiens ont eu cours pendant plusieurs siècles. Les arméniens étaient en étroites relations avec les hébreux de Terre Sainte. La liturgie arménienne vénère les Patriarches Enoch, Elie, Joseph d’Arimathie, alliant ainsi les 2 Testaments.

Remarquons que tout ce qui est nordique dans le judaïsme ethnique et synodal se nomme aschkénaz comme le fis de Gomar l’arménien, chef de communauté au XIIème siècle. Leur tradition commune fait reposer l’Arche sur le mont Ararat, montagne d’Arménie, Le signe de l’alliance est l’arc-en-ciel. La tradition dit que le pre­mier homme sorti de l’Arche a planté la « Vigne », signe cabalistique du secret, qui produit le « vin », signe de la Connaissance.

Au cours des Croisades, les Templiers ont entretenu des relations spirituelles et mystiques avec les élites des diverses populations que les circonstances les ont amenés à côtoyer ou à combattre. Cela, aussi bien en pays islamique, qu’en pays chrétien. En particularité avec les hébreux, les syriens, les chrétiens de l’Eglise d’Orient, les nestoriens arméniens et les musulmans chiites qui avaient choisi Ali, le descendant de Mahomet, et les membres de sa famille comme pouvant seuls assurer la direction spirituelle de leur communauté. On peut signaler également que les compagnons « tailleurs de pierre » nestoriens se sont unis aux « tailleurs de pierre » templiers.

On sait qu’en 1183, le Roi Baudoin de Jérusalem avait confié la responsabilité du royaume franc à Guy de Lusignan. Celui-ci s’appuya sur le Grand-maître du Temple Gérard de Ridefort qui, par sa désastreuse administration et ses guerres malheu­reuses fut responsable de la perte de Jérusalem. Nous retrouvons les Lusignan à Chypre qui était devenue un très important berceau templier. Grâce à l’alliance armeno-franque, la royauté arménienne passera aux Lusignan de Chypre. D’après la liturgie des arméniens restés fidèles au Coran, la Vierge symbolise la liaison entre la volonté divine et la terre. Quant au Christ, il est considéré comme un grand prophète. Les arméniens ayant choisi le nestorianisme ont influencé la chrétienté médiévale d’Occident. Pour eux, le Christ est la « Révélation du Nom » et rassemble tous les chrétiens. Nous trouvons la même interprétation dans la communauté hébraïque. Le rôle conféré à la Shekkina est qu’elle est présente dès que plusieurs personnes sont rassem­blées autour de la Tora et qu’elle est le « Nom ». Un autre vêtement du « Nom » est « Shaddaï ». Comme le mot « Shemhamephorash » qui est le vêtement de Lumière dont Dieu enveloppe sa Présence Divine. Ce mot ne doit être prononcé qu’exceptionnellement à cause de l’immense radiation qu’il émet. Il représente les quatre niveaux : émanation, intellect, émotion, action dans la Gloire de Dieu. A Chypre, les nestoriens ont rassemblé dans l’Eglise chrétienne les descendants des familles d’Hugues de Payns et Geoffroy Saint-Hilaire. Les nestoriens vouent un culte particulier aux patrons des métiers, soit les 4 couronnés : Saint-Jean, le Baptiste évangéliste, Saint-André et Saint-Jacques.

Les Lusignan ont persisté un certain temps à Chypre mais dès la fin de l’Ordre du Temple, ils se sont peu à peu expatriés dans plusieurs pays, particulièrement en Amérique. En France, nous connaissons leur château à Charroux, dans la Vienne. Leurs armes portent l’aigle et le lion ainsi que l’étendard byzantin que l’empe­reur Henri VI avait ajouté à leurs armes.

L’extension de la foi chrétienne en Extrême-Orient est due à la propagation nestorienne arménienne. On pourrait dire que l’on se trouve alors en présence de deux christianismes, celui d’Orient et celui d’Occident.

Mais, n’était-ce pas le désir des Templiers de réunir les religions orientales au christianisme romain. Beaucoup se font une idée très incomplète de ce qu’étaient les Templiers. Qu’ils ne considèrent que comme des chrétiens catholiques vénérant tout particulièrement la Madone, Notre-dame, et qui ont pris part aux croisades pour combattre l’infi­dèle. Ils étaient en réalité bien plus que cela… Le brassage des populations qu’ils ont rencontrées en Orient leur a permis d’élargir leurs conceptions. En comparant les diverses Traditions, les Templiers ont été conduits à admettre qu’avec des formes différentes leurs divers cultes s’adressaient tous à l’Etre Suprême, donc à Dieu. De ce fait, la pensée des Initiés Templiers a pris un caractère universel. Nous savons que ces Initiés avaient comme mission de contribuer à l’unification des mondes, en réalisant l’unité entre les êtres.

Gabrielle CARMI et de son mari Jean.. 

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